• Pedales Crankbrothers et  Chaussures Mavic Pulse

    Mon couple "pédalage" pour la pratique du Gravel.

    Voir l'article en cliquant sur ce lien : http://www.trackandnews.fr/2015/04/quelles-chaussures-et-pedales-choisir-pour-le-gravel/


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  • C’est l’été, il fait chaud et il ne faut pas oublier de s’hydrater. Comme on ne peut pas trouver partout des points d’eau, il faut trouver la bonne solution.

    Direction Esprit Running de Perpignan où après quelques conseils j’ai opté pour cette ceinture

    Le porte bidon Salomon XR SENSIBELT

    Avec le Sensibelt je pense avoir trouvé le compagnon idéal pour pour mes sorties running en garrigue. Le gros plus à mon avis c’est le bidon 3D de 600 ml, une grande capacité qui me convient parfaitement pour mes sorties d’1h à 1h30.

    Le porte bidon Salomon XR SENSIBELTAvec ces 190g l’ensemble  est très léger. Equipé d'une large ceinture dite "sensifit" avec fermeture velcro personnalisable, facilement ajustable à la taille et très confortable. La technologie "Airvent" offre des aérations pour le transfert d'humidité et un matelassage confortable.

    Le porte bouteille est incliné à 45° pour accès plus rapide et plus pratique quand vous courez. Après une rapide adaptation, on s’habitue facilement à enlever et à remettre le bidon.

    Le porte bidon Salomon XR SENSIBELT

    Il possède également une poche zippée pour permettant de ranger clés de voiture, gels, barres, carte bleue, téléphone….. d’une assez bonne capacité.

    A la course la ceinture ne bouge absolument pas  et on ne ressent aucune gène, même avec le bidon plein.

    Pour 35€ c’est un excellent rapport qualité prix


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  • On peut désormais affirmer que la marque, à l’origine française, HOKA ONEONE, fait partie intégrante des peloton des coureurs à pied avec il est vrai, du fait de ses semelles oversize, une forte tendance Trail et Ultra 

    Dans la gamme HOKA, j’ai personnellement choisi l’option extrême avec les Mafate, typées Trail. Et ce après avoir testé les Bondi et les Stinson.

    Reste encore les chaussures d’entrée de gamme Rapa Nui plus proches de « running classiques » et les nouvelles Conquest. Mais, je n’ai pas encore essayé ces modèles.

    La première sensation c’est sans conteste le son confort de chaussant.

    On pourrait penser être sur des « talons aiguilles », vu la semelle oversize de 33mm de hauteur ; en fait la cheville se trouve bien dégagé, le coup de pied n’est pas contraint. On ne ressent absolument pas d’impression de hauteur. L’ensemble du pied est bien enveloppé.  On est donc parfaitement calé, bien à plat. Le système de laçage Quick Fit permet un serrage simple et précis bien que ça ne coulisse pas assez bien sur les œillets. Malgré, tout c’est une réelle innovation par rapport à mes premières Mafate à laçage classique.

    Et sur le terrain me direz vous ? En principe je cours sur des terrains « mixtes » (3/4 chemins et ¼ route). Résidant dans le sud au pied des Corbières, je m’évade donc en garrigue dans un milieu très « caillouteux » et donc très abrasif et inégal.

    Dès les premières foulées je me suis trouvé à l’aise avec une foulée souple et une attaque du pied bien à plat et assez centrée, moins sur le talon que je ne le croyais. Mais le véritable « choc », c’est l’amorti. La semelle absorbe intégralement  toutes les aspérités du terrain. C’est  surprenant, même impressionnant, on a l’impression d’être sur un tapis en mousse…. Même sur mes sentiers de garrigue.

    Si elles ont trop d’amorti, elles vont donc manquer de dynamisme me direz vous… on va s’affaisser, s’écraser dans la semelle surdimentionnée ?

    Et bien NON, pas du tout. La foulée reste naturelle et on a un reél ressenti de rebond qui vous propulse vers l’avant. C’est d’autant plus flagrant lorsqu’on est en descente. En fait, depuis que j’ai ces chaussures je n’attaque plus du tout du talon comme avant et donc ma transition vers l’avant est bien plus rapide. D’autant que je trouve la semelle très souple.

    Paradoxalement, pour une chaussure sur élevée, le statique est irréprochable et le posé de pied très stable avec un maintien irréprochable. Depuis, plus de quatre ans que je cours avec, je ne les ai jamais prises en défaut.

    Tout cela fait que c’est sur la longueur que l’on va ressentir les bienfaits de ces Mafate. Les longues sorties deviennent un réel plaisir. Et il est clair qu’elles ont une influence très positive sur la qualité de la foulée, générant moins de fatigue.

    Mais qu’en est-il de la qualité de ces Mafate ?

    Question accroche, je ne les ai utilisées qu’en milieu sec et rocailleux, et là encore elles se sont montrées irréprochables. Je ne peux dire ce qu’il en est en milieu humide.

    Sur la longueur, la semelle extérieure reste très résistante. Par contre la semelle a tendance à s’écraser au fil du kilomètrage. Mais bon, je cours actuellement avec trois paires : « la bleue qui n’a qu’une dizaine de bornes, la jaune et bleue 550 km, l’orange 760 km »

    La bleue : hauteur semelle et usure

    La jaune et bleue : hauteur  et usure

    L’orange : hauteur  et usure

    Enfin, avec ses 410g (42) pour une chaussure de Trail, elle reste encore relativement légère dans sa gamme. De toute façon, on ne sent pas que l’on a affaire à des « brodequins » mais à des chaussures faites pour « voler »….

    En conclusion, je suis devenu un vrai FAN de la marque Hoka One One et plus particulièrement convaincu par la Mafate. Je crois que je ne pourrais pas revenir en arrière. Récemment, j’ai d’ailleurs essayé une paire de chaussures d’une marque au logo de « félin » soit disant très confortable et à l’amorti sensationnel. Je resterai sobre en disant que « je n’ai pas les mêmes valeurs ».

    Bon, ce qui précède est bien sûr très « subjectif » et me correspond. Donc pour compléter le « tableau » je préciserai que j’ai 60 ans, 1m74 pour 71 kg, adepte du triathlon, je fait environ 2000 km de course à pied par an pour 10000km en vélo.

     

     


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  • J'ai reçu une paire de chaussures Fi'zi:k K5 pour la pratique du triathlon. Dessus en Mycrotex Nylon Mesh avec micro fibre "Diamant". Deux velcros inversés en "Sail Cloth" résistant. Avec une semelle extérieure en Nylon renforcé carbone et une semelle intérieure Fi'zi:k Cycling Insole. Poids 260g la chaussure en taille 43.

    Prix : 179 €

    Chaussures Fi'zi:k  K5

    Je n'ai pas pu résister.... J'ai enlevé les cales des Fi'zi:k K1 pour les mettre sur les K5 pour les tester.

    Une cinquantaine de bornes plus loin, je suis très agréablement surpris.

    ·    d'abord le chaussant est excellent. Je dirais qu'il est très confortable, presque autant que les R3 que j'avais précédemment utilisées ; j'espère faire plus de 3000 bornes avec (car les R3 sont maintenant HS, impossible de les enclancher). La tenue du pied est bien meilleure que celle des K1 où il est vrai cela reste un point négatif. Ce matin, j'avais des chaussettes, il faudra voir pieds nus ce que cela donne.... mais j'attendrai des jours meilleurs.

    ·    Ensuite, elle paraissent moins cambrées que les K1 qui lorsque je roule avec un vélo route me font mal sous la voute plantaire.... avec le vélo de triathlon ça va. Avec les K5 j'ai roulé ce matin sur le Trek madone et je n'ai pas eu cette sensation désagréable sous le pied.

    ·    Question maintien, je l'ai trouvé meilleur que celui de la K1, la tige se ferme bien sur le coup de pied, sans compression, sans être obligé de serrer trop fort comme avec les K1 ; il n'y a pas comme avec le néopréne de problème de fermeture... en effet sur la K1, ça fait parfois des bourrelets, ça passe dessous ou dessus et on ne se sent pas toujours bien tenu.

    ·    L'anneau arrière est bien plus grand que sur la K1 et permet une meilleure prise lors du " chaussage" ; bon la chaussure étant neuve, l'ouverture avant était encore un peu raide, mais ça devrait s'assouplir rapidement. La cale anti-dérapante sous le talon est très efficace, même sur le carrelage de la maison... et ça peut être utile si l'on descend du vélo sans déchausser (sur la K1 aussi)

    ·    Enfin concernant la semelle extérieure, nylon+carbone, je l'ai trouvé très rigide, pas beaucoup de différence avec la K1 et largement suffisant vu mon niveau.

    Je n'ai rien trouvé à redire, contrairement à la K1.... Maintenant à voir sur un plus long terme... car la R3 que je trouvais excellente n'a pas tenue la distance... donc à suivre... Mais, j'ai l'impression que la K5 est plus aboutie.

    AU BOUT DE 730 km

    J'ai donc roulé avec les K5 un peu plus de 700 km. Je n'ai rien à ajouter sur ce qui est écrit ci-dessus et je confirme que je préfère la K5 à la K1. Je l'ai testé autant avec mes vélos de route qu'avec mon vélo de triathlon, avec les pédales shimano et avec des Look Kéo. 

    Pour l'instant elle n'ont pas bougé et ne se sont pas abîmées, ni décolorées (comme les R3).

    Ce que j'ai aussi aimé c'est qu'au niveau des transitions, la chaussure reste bien ouverte et s'enfile très facilement, grâce à la grande boucle arrière. Le confort est irréprochable (pour l'instant) et la tenue du pied dans la chaussure, même sans chaussettes  est largement supérieure à celle des K1.

     

    Chaussures Fi'zi:k  K5

     

    Donc pour les compétitions de triathlon, je sais quel sera mon choix..... La K5.


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  • La première chose que l'on remarque sur la fi'zi:k Arione Versus CX, c'est son "look". Personnellement je le trouve superbe avec sa zone centrale blanche et noire ; en plus elle va très bien au « Trek » Madone. J 'adore...

     

    Selle Fi'zi:k Arione Versus Cx

     

     

    Pour le réglage et la mise en place de la selle ça s'est fait tout seul, vu que j'avais déjà sur mon vélo une Arione.... donc 30 cm, c'est toujours 30cm

    Par contre dès les premiers kilomètres j'ai eu mal aux fesses ; je l'ai trouvée très dure, trop dure et bien sur j'ai eu du mal à me poser convenablement sur la selle …. est-ce l'effet des rebords de la dépression ?... il n'empêche que je n'ai pas du tout aimé les 10 premiers kilomètres sur le plat ; je n'arrivais même pas à me mettre en bec de selle comme je le fait d'habitude avec une Arione normale. Je ne sais pas combien de fois je me suis mis en danseuse, mais certainement trop souvent.

    Finalement, j'ai attaqué la montée (un petit col à 4,5%)... et là, je me suis positionné en  fond de selle ; comme je fais toujours avec l'Arione, à la recherche du meilleur appui... et là bizarrement je me suis senti bien mieux, avec un meilleur confort et un meilleur transfert de forces sur les pédales.

    Pendant la descente, j'ai retrouvé la qualité de l'Arione avec la possibilité de trouver la position idéale.

    Le retour sur le plat, c'était un peu mieux qu'au début, mais toujours avec un certain inconfort.

    En clair, je  n'ai pas ressenti l'effet du creux qui doit permettre de réduire les compressions... c'est  presque le contraire.

    La selle est très rigide et restitue avec efficacité la force de pédalage sans déperdition... Elle ne donne pas l'impression de s'affaisser comme certaines selles «creuses » que j'ai déjà testées. C'est peut-être aussi pour ça que j'ai eu du mal à m'adapter....

    En conclusion, une première sortie peu convaincante. Mais, je me rappelle que quand je suis passé de l'Aliante à l'Arione, j'avais eu aussi quelques réticences.... et depuis, je ne voudrais pas rouler sur autre chose qu'une Arione.

    Donc on va encore persévérer et « faire  la selle » avant de porter un jugement définitif.

    Deuxième sortie, le lendemain. Les deux premiers kilomètres j'ai eu l'impression que l'on avait mis une règle rectangulaire au milieu de la selle. Départ à froid difficile... Heureusement la première montée m'a contraint à me positionner vers l'arrière de la selle et de suite j'ai senti une nette différence avec une meilleure assise.

    Au fil de la sortie, j'avoue que l'inconfort ressenti au début s'est un peu estompé.

    Soit ce sont mes fesses qui s'y font, soit la selle, en tout cas au bout de 100 bornes (en deux fois), il y a du mieux.....

    Le point au bout de 500 km.....

    Après les trois premières sorties, j'ai commencé à ressentir un léger mieux dans le confort de la selle (environ 150 km). Au fur et à mesure, on se sent de mieux en mieux. Hier, lors de ma sortie, j'ai dépassé les 500 bornes. Autant au départ je n'aimais pas cette selle, autant maintenant je m'y sens comme dans un fauteuil. Je ne ressens plus cette gène qui existait dans les premières sorties au centre de la selle. Elle est bien plus souple à ce niveau, sans pour autant s'être affaissée ; la transmission de la force de pédalage est excellente, l'ensemble reste rigide et on de sent aucune déperdition. On bénéficie en plus des qualités de l'Arione « normale » avec toujours la position qui convient le mieux.

    Du fait que je roule avec l'Arione carbone sur mon Canyon Ultimate SLX et la Versus sur le Trek Madone, j'ai pu alterner et mieux comparer. La carbone est pour moi ce qu'il y a de mieux... lors du téléthon en décembre j'ai roulé 180 bornes dessus sans aucun problème d'échauffement ou d'inconfort... le top....

    Et bien, après 500, je trouve la Versus tout aussi agréable. Je me sens de suite calé dessus et parfaitement bien positionné.

    Reste à voir sur les longues distances. Je n'ai pas dépassé les 60 km avec, mais je roule avec un collant hiver long dont la qualité du « fond de selle » est loin de valoir celle de mes cuissards courts. Donc je ne me fais pas de soucis à ce niveau. Par contre, reste à savoir si elle ne va pas s'affaisser ou se ramollir au milieu, comme je l'ai déjà constater avec des selles « évidées », d'autres marques, il est vrai.

    Lors de ses 500 km, la selle n'a jamais fait de bruit et n'a absolument pas bougé. Une fois positionnée, je ne l'ai plus touchée.

    Après 3500 km et des sorties en "court" je confirme que "j'adore" cette selle qui ne pose aucun problème, même sur des distances dépassant les 100 km.

    Selle Fi'zi:k Arione Versus Cx

     

    En conclusion, c'est une selle qui demande à se faire. Si les premiers 200 km peuvent décourager l'utilisateur par la rudesse de l'assise (qui vient je pense des deux bords de la dépression centrale ; au début  ils sont très durs et deviennent plus souple au fur et à mesure), il faut persévérer. Rapidement le cycliste va « modeler » sa Versus pour se sentir de mieux en mieux dessus. Il va finalement y trouver un réel confort et une efficacité de pédalage. La longueur de la selle permet aussi de trouver la bonne assise, tant sur le plat qu'en montée... mais ça c'est le « plus » des Arione.

     

    Finalement, je vais la laisser sur mon Trek..... 

     

     


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